Clara Luciani : « Je suis amoureuse de Honfleur »


© 2019 Séb Lelièvre – Concert de Clara Luciani le samedi 6 juillet au festival Beauregard

Samedi 6 juillet, lors d’une conférence de presse au festival Beauregard, à Hérouville-Saint-Clair, Clara Luciani s’est confiée sur ses liens avec la Normandie, sa complicité avec ses musiciens et sa façon de concevoir les concerts.

Que retiendras-tu de ce passage au festival Beaurgard  ?

Formidable à tous les points ! Pour être honnête, j’ai été hyper bien reçue en coulisse avec du très bon fromage et le public était incroyable. Quand on m’a annoncé que j’allais jouer à 16h, j’ai eu une petite angoisse. Je me disais « les gens auront fait le festival la veille donc ils ne seront pas du tout réveillés ». Finalement, ils étaient déjà prêt à chanter et danser dès 16h !

As-tu des liens avec la Normandie ?

Pas dans le sang. Ce sont des liens que j’ai créé plus tard. Ils sont précieux. Je suis amoureuse d’Honfleur. J’y ai passé Noël. J’essaye d’y aller dès que je peux. J’aimerais bien vivre en hiver à Honfleur et en été à Aix-en-Provence.

Tu montres sur scène une grande complicité avec tes musiciens. Comment s’est-elle construite ?

Quand tu passes deux ans et plus de deux cents concerts avec des gens merveilleux, tu finis par les adorer comme des frères. Je crois que c’est ce qui s’est passé entre nous. Je les trouvais bons musiciens quand je les ai choisis. Il s’est avéré qu’ils sont aussi d’excellentes personnes. C’est super précieux d’avoir ce genre de liens pour contrer les moments lors desquels il peut y avoi un peu de mélancolie ou de fatigue après plein de concerts. Avoir ces gars-là avec moi sur scène n’a pas de prix. Ce sont souvent eux qui me portent.

L’esprit de groupe amène parfois à transformer des morceaux par rapport à ce qu’ils étaient en studio…

Oui, bien sûr. C’était l’idée en fait. Je n’avais pas envie de refaire le disque sur scène. Il y a des artistes qui sont maniaques avec ça, qui veulent que le concert sonnent comme le disque. Pour ma part, je voulais que le concert soit surprenant. Les gens reconnaissent l’ADN des chansons mais sont emmenés un petit peu ailleurs. Nous avons travaillé dans ce sens là. Il y a plein de parties qui ne sont pas sur le disque. Je n’interprète pas les chansons de la même façon sur scène.

Autre moteur de ta tournée actuelle : l’apport de nouveaux titres..

C’était important de motiver les troupes avec de la nouveauté. C’est chouette pour le public qui vient à beaucoup de concerts. Et aussi pour nous les musiciens, pour éviter la sensation de répétition. Je veux que les concerts restent extraordinaires. Car c’est extraordinaire de faire ce métier ! Je n’ai pas envie que ça nous échappe. Nous devons continuer à nous rendre compte à quel point nous avons de la chance.

Tu as clôturé ton concert à Beauregard par « La grenade », reprise en chœur par le public. Te sens-tu parfois dépassée par la portée d’un titre.

Oui, un peu, par moment. C’est très agréable quand, tout à coup, une chanson devient presque un hymne. Et c’est hyper beau de voir les gens chanter une chanson écrite dans la confidentialité. Mais j’espère ne pas devenir la fille d’une chanson. J’ai parfois cette peur. J’ai envie de dire « Ecoutez le reste de l’album, il y a des chansons superbes ». Mais je pense qu’une chanson qui passe à la radio régulièrement peut aussi être une porte d’accès à un univers.

Tes musiciens s’éclipsent de la scène le temps de la chanson « Drôle d’époque ». Ses paroles ont-elles une portée particulière pour toi ?

Peut-être. J’avais besoin de ce moment qui me faisait renouer avec ma première façon d’expérimenter la scène, c’est-à-dire guitare-voix. Je faisais des premières parties toute seule. C’est parfois bon d’avoir une piqûre de rappel de cette période car c’était une autre forme de puissance.

Entre la chanson et le rock, ton cœur balance ?

Oui, complètement. Ce sont les deux familles que j’ai le plus écoutées, autant l’une que l’autre. Mon adolescence, c’était presque autant les Sex Pistols que Léo Ferré !

Episode 18 : spécial festivals

Diffusion le mardi 9 juillet, de 20h30 à 22h30, sur Radio666 (99.1 FM à Caen) et radio666.com. Au sommaire :

  • reportage au festival BEAUREGARD du jeudi 4 au dimanche 7 juillet au parc du château de Beauregard, à Hérouville-Saint-Clair (14)
  • reportage à CABOURG MON AMOUR du 28 au 30 juin sur la plage de Cabourg (14)
  • reportage à BICHES FESTIVAL du 14 au 16 juin à Cisai-Saint-Aubin (61)
Oktober Lieber le vendredi 14 juin 2019 au Biches Festival.
  • MISS PARAMOUNT sera de retour dans Balance Ta Prog en amont de son concert du 31 août au sixième festival d’Emiéville (14).
  • Et le trio pop jazz TWIN MOOD sera aussi de retour dans Balance Ta Prog pour annoncer ses prochains concerts !

A Beauregard, n’arrive pas en retard !

Raphaël et ses complices de « We Hate You Please Die » vont réveiller John vendredi à 16h30.

Pour ouvrir en beauté les quatre jours de son édition 2019, le festival Beauregard accueille quatre groupes normands : MNNQNS, We Hate You Please Die, Beach Youth et Embrasse Moi. Synchronisation des montres !

MNNQNS (rock) jeudi à 17h50

Cette année, John frappe fort pour l’ouverture de son festival avec MNNQNS, groupe rock de Rouen, qui a notamment assuré avec brio la première partie de Franz Ferdinand le 24 mars 2018 au Zénith de Caen. La même année, les mannequins remportaient le Prix Ricard S.A Live Music. Les premiers albums de Blur ont sûrement influencé ce groupe formé en 2013. Mention spéciale pour le titre « If only they could » dans lequel les guitares se répondent à merveille.

Après Beauregard le 4 juillet, MNNQNS le lendemain aux Eurockéennes de Belfort. A noter aussi : un retour à Londres le 17 octobre pour un live au Thousand Island. Avant ça, les mannequins joueront le 3 octobre à Paris, à la Maroquinerie, où ils partageront l’affiche avec un autre groupe rouennais qui a lui aussi tapé dans l’œil de John : We Hate You Please Die.

WE HATE YOU PLEASE DIE (garage / grunge) vendredi à 16h30

Le 1er février dernier, au Big Band Café, à Hérouville-Saint-Clair, le jury du tremplin John’s session a choisi le rock garage grunge de WE HATE YOU PLEASE DIE, WHYPD pour les intimes. « Kids are lo-fi », le premier album de ces quatre musiciens rouennais, est un concentré d’énergie qui n’est pas sans rappeler la fougue du héros des bande-dessinées Scott Pilgrim. En live, que ce soit au Cargö, à Caen (en première partie de la nouvelle sensation new-yorkaise Bodega) ou lors du Printemps de Bourges, l’influence Nirvana est clairement assumée. Y est ajoutée une bonne dose de fuzz.

Mathilde, atout rythmique de We Hate You Please Die.

On pourra aussi apprécier dans WE HATE YOU PLEASE DIE la manière dont les voix se répondent sans jamais sombrer dans la cacophonie. Enfin et surtout, comme tout groupe qui ne manque pas d’énergie, la batterie est un poste clé. A ce titre, la batteuse de WE HATE YOU PLEASE DIE fait bien plus qu’assurer le job. En attendant le deuxième album, WHYPD a un agenda concert bien chargé. Ne surtout pas manquer leur passage au dixième Rock in the Barn le 14 septembre à Vexin-sur-Epte, dans l’Eure !

BEACH YOUTH (surf pop) samedi à 15h20

Le nom l’indique : ces quatre garçons ont envie de célébrer la jeunesse, la plage, les cocktails, l’été et les festivals qui vont avec. Les guitaristes ont résisté aux sirènes de la distortion et laissent une bonne place à la basse comme dans « Classroom », titre hyper cool qui a réchauffé l’hiver 2018-2019 sur Radio 666.

Avec leur deuxième EP, les Caennais de Beach Youth affichent davantage l’ambition de faire danser les festivaliers. Le soleil prévu à Beauregard ressemble à un parfait alignement des planètes. Pour plus de surf-pop, rendez-vous le 11 juillet aux Belles Rives Festival, à Caen. Et pour en savoir plus sur cette bande de potes qui aiment le foot et qui supportent le Stade Malherbe de Caen, tu peux réécouter leur interview Balance Ta Prog diffusée en mars sur 666 :

EMBRASSE MOI (chanson) dimanche à 15h30

Dans ce quatuor caennais, les influences ne sont pas évidentes et c’est sûrement un de leurs charmes ! Embrasse Moi fait rimer originalité et simplicité. Ici, rien n’est forcé, ce qui a pour avantage de valoriser les paroles en français. Celles-ci font passer d’un décor à un autre avec une facilité déconcertante. Ecouter « J’ai un plan » puis « Club » donnera un bon exemple. Mention spéciale au très bon travail d’arrangement qui permet au groupe de faire durer un titre sept minutes sans perdre l’auditeur. Embrasse Moi pourait aussi très bien supporter un album concept contenant un morceau d’une dizaine de minutes.

Après Beauregard le dimanche 7 juillet, les quatre caennais pourront être écoutés à Saint-Pair-sur-Mer le 30 août, à Barfleur le 31 août et à nouveau à Hérouville-Saint-Clair le 12 octobre, en première partie de Cléa Vincent.

Alec Rec sort un nouveau clip

Dimanche 23 juin, Alex Rec a mis en ligne le clip du titre « When you’re good ». Le tournage s’est déroulé dans le chambre du chanteur, lieu où il a composé son premier album « From bedroom to gigs » sorti l’an dernier. Le réalisateur Massimo Ostolidi a fait appel à une quinzaine de figurants.

Philippe Zdar laisse derrière lui des musiques solaires

Le soir du mercredi 19 juin, Philippe Cerboneschi, alias Zdar, membre du duo électro Cassius, est mort accidentellement à Paris. Le musicien, DJ et producteur a marqué l’histoire de l’électro et s’est aussi écrit un nom dans le milieu du rock.

Depuis 1996, l’acteur incontournable de la french touch formait avec Hubert Blanc-Francard le duo Cassius. Succès retentissant dès le premier album. En 2006, un ton plus rock résonnait avec le single « Toop toop » sur lequel chantait Zdar :

Acteur incontournable de la french touch, Zdar était aussi un producteur renommé. Il avait notamment travaillé avec The Rapture, Cat Power, M, Housse de Racket et MC Solaar. Parmi les albums marquants qu’il a produit, ceux du groupe Phoenix sont incontournables. Réalisé en 2008, « Wolfgang Amadeus Phoenix », quatrième opus du groupe versaillais, a reçu en 2010 le Grammy Awards du meilleur album alternatif.

Plus récemment, Franz Ferdinand s’est assuré un retour gagnant en lui confiant le mixage et la production de « Always ascending », cinquième album du groupe écossais sorti début 2018.

Le cinquième album du duo Cassius sort ce vendredi 21 juin. Intitulé « Dreems », il est porté par le single « Don’t let me be ». Celui-ci pourrait bien nous faire danser tout l’été.

Ysé Sauvage :  « J’ai longtemps voulu écrire des scénarios »

Ysé Sauvage au festival Papillons de nuit le samedi 8 juin 2019.

Ysé Sauvage vit à Blainville-sur-Mer, dans la Manche. A bien regarder le clip de « Same old », le littoral normand a sûrement inspiré la chanteuse. Mais ses influences musicales sont aussi à chercher outre-Atlantique. A Saint-Laurent-de-Cuves, rencontre avec une artiste pop-folk intéressée par l’effet papillon.

Ysé, d’où te vient le goût de la musique folk ?

J’ai vécu au Canada quelques mois. A 14 ans, je me suis retrouvé dans une famille d’accueil. J’avais envie de partir, de prendre l’air. Le père de ma famille d’accueil était un mélomane qui adorait la folk. Pour aller au supermarché, il fallait parfois une heure. Il y avait donc le temps d’écouter des albums entiers. Il m’a fait découvrir la country et la folk. En rentrant du Canada, j’ai réalisé que cette musique m’avait bien imprégnée en termes de goûts et d’envies pour ma propre écriture.

Notamment Bob Dylan…

Oui ! Je l’ai vu au Grand Rex récemment et c’était très cool. C’est incroyable qu’il tourne encore. Je me souhaite de tourner autant. Il a une sacrée présence ! Je me souviens aussi du son hallucinant du batteur, très feutré. Je n’avais jamais entendu de la batterie comme ça.

Que retiendras-tu de ce concert au festival Papillons de nuit ?

Je vais retenir que c’est mon premier festival en Normandie, un peu chez moi. Ca devrait me rester longtemps à l’esprit, comme toutes les premières fois.

A propos du 2e EP, as-tu l’impression d’avoir été dans la même direction que pour le premier ?

Je crois que je suis resté fidèle à moi-même mais certainement dans une autre direction. Je crois m’être davantage rapprochée de la pop. Et surtout, j’ai fait une rencontre avec un super mec, Louis Chaâl, qui est devenu mon bassiste, guitariste et trompettiste. On a bossé sur mes titres et il a fait des arrangements. Le travail était donc un peu moins solo. Louis a fait entrer d’autres influences qui sont fidèles à ce que j’aime, ce que j’écoute et ce qui me touche.

Ce deuxième EP s’appelle « Scénario ». As-tu eu des envies de cinéma ?

Oui ! Pendant très longtemps, je voulais écrire des scénarios. L’idée n’est pas restée mais, d’une certaine manière, j’en ai écris pour un autre support. Le « scénario » m’a beaucoup parlé au-delà de l’aspect cinématographique. Je suis tombé sur la définition « une multitude de futurs possibles » et j’ai trouvé chouette ce concept. Nous faisons quotidiennement des choix qui semblent minimes et c’est l’ensemble de tous ces choix qui font notre vie.

Tu utilises toujours un looper, sans doute moins depuis que tu es entouré par des musiciens…

Oui, j’ai longtemps tourné seul. J’avais envie de me libérer, de me lâcher des contraintes purement techniques. Je devais jouer aussi bien avec les pieds qu’avec les mains. Je suis maintenant accompagné par deux musiciens. J’ai gardé le looper comme quelque chose qui amplifie le live plus que de quelque chose dont j’ai besoin pour pouvoir jouer.

Ysé sauvage, Balance ta prog !

« It was you » de Norah Jones.

Ysé Sauvage sera en concert gratuit le jeudi 8 août à 19h à Paris, à Bercy Village, dans le cadre des musiques en terrasse.

Twin Mood en concert ce vendredi à Caen

Alexandre, Maï Rose et Laurent forment le trio Twin Mood.

Laurent, chanteur-pianiste, Maï Rose, vocaliste, et Alexandre, chanteur-guitariste, ont construit un set pop n’ jazz avec l’objectif de faire au maximum chanter et danser le public. Les morceaux repris vont des années 30 à aujourd’hui. Pour le O’donnell’s Irish Pub, le trio prévoit un événement en trois temps. « La première partie sera plutôt pop avec des reprises d’Alicia Keys, Ed Sheeran et Adèle » précise Maï Rose. « La deuxième est plutôt jazz avec notamment des morceaux de Ray Charles et Judy Garland. Enfin, la troisième partie est composée de standards qui fonctionnent toujours très bien avec le public ». Parmi les incontournables, la chanteuse mentionne « Hotel California » de The Eagles, « Let it be » de The Beatles et « Say a little prayer » d’Aretha Franklin.

Ce vendredi, le groupe caennais jouera dans un lieu qu’il connaît bien. « Nous avons déjà joué au O’Donnell’s et nous en gardons le souvenir d’un accueil chaleureux aussi bien par le personnel que par le public » explique la chanteuse, toujours heureuse de voir le public chanter et danser à la fin de la soirée. « Les standards que nous reprenons se prêtent bien à l’ambiance d’un pub irlandais. »

A Caen, Twin Mood a aussi joué au restaurant La Tomette et au Verre Dit Vin. Formé il y a un an, le groupe caennais compte déjà une trentaine de concerts à son actif, la plupart lors de mariages. Maï Rose en retient l’esprit de fête, les sourires et les larmes de joie : « Les mariés nous écoutent toujours attentivement. On se sent comme un maillon supplémentaire pour le bon déroulement de la plus belle journée de leurs vies. Souvent, ils choisissent un ou deux morceaux qui ont une importance dans l’histoire de leur couple. Et au moment de jouer devant les invités, l’émotion est décuplée ! » Twin Mood est souvent amené à jouer « A thousand years », une chanson de Christina Perri popularisée par les films romantico-vampiriques Twilight. Plus original, des mariés ont demandé à Laurent et Alexandre un thème de la saga Star Wars. Challenge accepté. La force était avec eux.

Pour le grand public, après la soirée de vendredi au O’Donnell’s Irish Pub, la prochaine date de Twin Mood sera un apéro-concert le vendredi 28 juin à Réville. Les trois musiciens ont chacun d’autres projets musicaux : Laurent chante dans le duo de reprises Upstairs, Alexandre est membre du groupe Haston, et Maï Rose est aussi bien à l’aise sur le rock de Drytown Project que sur la pop-électro de JVNE dont le deuxième EP vient d’être enregistré.

Infos pratiques : Concert de Twin Mood le vendredi 24 mai, à 21h, au O’donnell’s Irish Pub, 20 quai Vendeuvre, 14000 CAEN.

Près de Caen, le prochain festival d’Emiéville se dévoile

La sixième édition des Festives d’Emiéville aura lieu le samedi 31 août. Miss Paramount, Jayde et le groupe Décap’Soul sont les trois premiers noms annoncés par l’association organisatrice.

Miss Paramount chantera le 31 août à Emiéville.

Depuis son passage au Printemps de Bourges 2019, Mégane Dumas, alias Miss Paramount, ne cesse de faire parler d’elle. L’an dernier, son premier album, constitué de dix standards dont « Fever » de Peggy Lee et « These boots are made for walkin' » de Nancy Sinatra, a permis de découvrir une partie de ses influences et lui a valu d’être remarquée dans plusieurs médias. La chanteuse de jazz poursuit son beau début de carrière avec la sortie de « Spatio-temporel », un EP contenant cinq compositions. Le titre « Job », qui fait rimer glamour avec humour, a fait l’objet d’un très joli clip à voir ici :

En attendant d’écouter la pin-up à Emiéville le 31 août, Miss Paramount, originaire du Bessin, reste fidèle aux commémorations du Débarquement en Normandie. Elle donnera un concert le 7 juin lors de la fête de libération de Creully.

Chanteuse du groupe rock Unbridled, basé à Saint-Sauveur-Lendelin, Jayde s’apprête à faire ses premiers concerts en solo. Elle se produira le 27 mai à Trouville-sur-Mer dans le cadre du festival « Faire la fête sans perdre la tête » et reviendra à Trouville le samedi 6 juillet pour un concert à l’école de musique, de 18h30 à 19h30, dans le cadre du festival « Le Préau ». Son premier titre « Is this gonna happen today » devrait valoir un beau succès à celle qui fidélise déjà des centaines d’abonnés sur instagram en publiant des reprises à la voix, au ukulele, à la guitare et au piano. Mention spéciale à sa récente cover de « Balance Ton Quoi » (Angèle). Ne manquez pas le passage en direct de Jayde sur Radio666 le mardi 11 juin à 20h30.

Cette année, les Emiévillaises et Emiévillais accueilleront aussi Décap’Soul, un groupe caennais de funk et de soul. Composé de six membres dont une chanteuse et un saxophoniste, la formation reprend James Brown, Stevie Wonder, Keziah Jones, Chic et Bruno Mars. Décap’Soul a notamment joué au Portobello Rock Club, à Caen, et au pub Le Tommy’s, à Ouistreham. Leur prochain concert aura lieu le vendredi 24 mai, à 20h30, au Bistrot du Palais, à Caen.

Suivez l’actu des Festives d’Emiéville 2019 dans les prochains épisodes de Balance Ta Prog sur Radio666 (99.1 FM à Caen) et radio666.com ! Et rendez-vous à Emiéville le samedi 31 août !

Balance Ta Prog épisode 16

Highland Safari au O’Donnell’s Irish Pub, à Caen

Diffusion le mardi 14 mai, entre 20h30 et 22h30, sur Radio666 (99.1 FM à Caen) et radio666.com

Avec :

  • Highland Safari (rock celtique)
  • Embrasse-moi (chanson pop)
  • Coeff (rap)
  • White Velvet (folk)

Balance ta prog épisode 15

We Hate You Please Die

Diffusion le mardi 23 avril, de 20h30 à 22h30

sur Radio 666 (99.1 FM à Caen et www.radio666.com)

Au sommaire :

  • du garage punk avec WE HATE YOU PLEASE DIE
  • du rock avec EIFFEL
  • et du rock progressif world avec NOSTRA