Folk. Le Calvadosien Jahen Oarsman a sorti « Shelters », son premier album

Vendredi 26 novembre 2021, l’artiste folk Jahen Oarsman a sorti « Shelters », son premier album. Il contient dix titres.

Jahen Orsman était dans les studios de Radio 666 mardi 30 novembre 2021 à l’occasion de la sortie de son premier album quelques jours plus tôt.

Enregistré l’été dernier dans le Finistère, près de Morlaix, « Shelters », premier album du Calvadosien Jahen Oarsman, est sorti vendredi 26 novembre 2021. Disponible uniquement sur les plateformes d’écoute, il contient dix titres folk parmi lesquels « Imagination » avec un feat à la basse d’Amaury Ranger, membre de Frànçois & The Atlas Moutains. « C’est un morceau qui montre un peu plus mes racines nord-africaines, ma maman étant d’Alger », a confié Jahen Oarsman lors de son passage dans Les Apéronews sur Radio 666 mardi 30 novembre 2021.

Cette chanson évoque plusieurs facettes de l’imagination, notamment les complications liées au trop-plein d’idées. « On parle souvent du côté cool d’avoir de l’imagination, de trouver des solutions, mais avoir trop d’imagination peut parfois aussi bloquer. »

Avant l’étape marquante du premier album, Jahen Oarsman avait déjà sorti trois EP : « Time is a catcher » en 2014, « Hyde and seek » en 2016 et « In time » en 2018.

Sur la bonne route

Depuis environ huit ans, Jahen Oarsman s’est aussi fait un nom sur scène, notamment à Caen, en première partie de Yael Naim, au Cargö. On a aussi pu l’écouter en concert à La Luciole, à Alençon, au Normandy, à Saint-Lô, sur la scène Troisième œil du festival Chauffer dans la noirceur, à Montmartin-sur-Mer, et aux Papillons de nuit, à Saint-Laurent-de-Cuves.

Dans le cadre de sa future tournée, des concerts se profilent déjà en Normandie, en Bretagne et en Rhône-Alpes pour début 2022.

Les Fins de siècles dévoilent leur deuxième clip

Deux ans après avoir mis en images ‘Parlez nous à boire’, l’Augeron Myster Outlow s’est vu confier la réalisation de ‘The Diamond’, deuxième clip des Fins de Siècle tourné lors du concert du 19 janvier au Dansoir Karine Saporta, à Ouistreham. Noir et blanc, effet vieille pellicule, chapeaux hauts de forme et magic mirrors du 19e siècle : le quatuor folk-rock marin aux inspirations celtiques continue à voyager dans le temps.

Fondé il y a trois ans à Caen, Les Fins de siècles proposent compositions et adaptations de vieilles chansons. Ils sont menés par Jo, chanteur et harmoniciste précédemment entendu dans Jo Burns, Le Jour du corbeau et Muz’nouch. L’interprète garde intact son envie de raconter. « J’ai envie de parler de voyages et transmettre des histoires, des témoignages », confie Joe. Le Caennais partage cette aventure avec le parolier, guitariste et chanteur Marc et le contrebassiste Rodolphe, tous les deux issus du groupe de chanson rock Yéti, et la tromboniste Mado, qui a longtemps joué avec les Frères Pinards. Jo, amateur de jazz, de funk et de soul, apprécie dans les Fins de Siècles « l’amitié qui unit les musiciens, l’alchimie, les influences musicales de chacun ».

Les Fins de Siècles se sont déjà amarrés au festival « Terre de marins » à Saint-Vaast-la-Hougue, aux Traversées Tatihou et dans une vingtaine de bars, notamment à Caen et à Granville. En attendant un horizon serein pour caler de nouveaux concerts, cap vers le tournage d’un troisième clip cet été ! Il illustera « La fille de Barberouge », un de ses titres à écouter gratuitement sur soundcloud.com/finsdesiecles